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​Coups de coeur

LA NUIT DU CERF

Paru en septembre 2014, ce livre réunit des images captées au coeur de la forêt par Vincent Munier à l'époque du brame du cerf. Il est accompagné d'un CD de sons de la nature. Texte en français et en anglais.

SCANDINAVIE, L'APPEL DU NORD

 

La Scandinavie insolite et poétique dans «Grandeurs Nature» 

 

Un documentaire signé Vincent Munier, lequel offre aux téléspectateurs des images somptueuses de Norvège et de ses parcs nationaux où vivent renards polaires, bœufs musqués et rennes.
 

Pour Vincent Munier, la Scandinavie est une terre d’aventures qu’il connaît bien pour l’avoir traversée de nombreuses fois et aussi pour y avoir effectué plusieurs expéditions en solitaire. Avec Scandinavie, l’appel du Nord, Vincent Munier poursuit une quête photographique et une observation minutieuse de la nature, entre moments calmes et dynamiques, entre silences et tumultes d’une tempête de neige. 

Vincent Munier est un photographe de renom, une référence dans l’univers animalier, qui à trois reprises a été auréolé du prix prestigieux "Eric Hosking Award" du BBC Wildlife Photographer of the Year ! Il est l’auteur notamment d’un autre magnifique documentaire, que France 2 avait diffusé en 2012, sur les loups d’Abyssinie qui vivent sur les Hauts Plateaux Ethiopiens.

 

 

LE LYNX DANS LE MASSIF VOSGIEN

Animal complètement méconnu, contrairement au loup et à l’ours, le lynx est longtemps demeuré ignoré par les populations et ne laisse aucune trace dans le folklore local. Seule la toponymie des lieux témoigne de sa présence. Pourtant, avant d’être exterminée vers la fin du XVIIe siècle, l’espèce était répandue au moyen-âge dans nos montagnes comme dans nos forêts de plaine.

 

Le lynx a été réintroduit dans le Massif vosgien en 1983. Seul programme officiel autorisé par l’Etat afin d’établir un second noyau de population proche du Massif jurassien, où le lynx est présent suite aux lâchers effectués en suisse dans les années 1970. Entre 1983 et 1993, neuf femelles de douze mâles ont été lâchés, mais seule, une dizaine d’animaux survivent. Quatre femelles et six mâles fondent alors, la population actuelle. Le lynx, félin de grande taille, mesure de 80 à 110 cm de longueur, 50 à 70 cm de hauteur, pour un poids de 18 à 25 kg. Son pelage est roux, fauve à brun gris avec des mouchetures noires. Des longs pinceaux de poils prolongent les extrémités des oreilles. Sa queue est très courte et il possède une allure élancée, haut perché sur des membre particulièrement longs et robustes.L’espèce vit dans nos vallées boisées, pourvu qu’elle y trouve la quiétude et de quoi se nourrir. Le lynx est un animal solitaire et ne tolère aucun congénère adulte du même sexe sur son territoire. Selon les individus, un lynx adulte occupe un domaine vital dont la superficie varie entre 150 à 450 km².  Il peut parcourir des distances de 10 à plus de 20 km au cours d’une nuit.C’est sur ce vaste territoire, que le félin capture ses proies. Il tue lui même les proies qu’il consomme. L’essentiel de son régime alimentaire est constitué d’ongulés de taille moyenne, principalement le chevreuil et le chamois. D’autres espèces comme le lièvre, les petits carnivores (renards, chat sauvages ou domestiques…) les rongeurs et les oiseaux complètent ce menu. Les proies de grande taille sont constituées de biches adultes ou jeunes cerfs (daguets). La prédation sur le sanglier est quasi inexistante. Le lynx attaque également les animaux domestiques, moutons et chèvres.Aujourd’hui, plus de vingt ans après les premiers lâchérs, le lynx occupe dans le Massif vosgien, une superficie égale à 3627 km². L’espèce est présente dans le Massif vosgien depuis les contreforts Francs-Comtois jusqu’à Saverne. D’est en Ouest, cette aire s’étend depuis le piémont alsacien jusqu’aux premiers massifs forestiers montagneux du versant lorrain. Dans les Vosges du Nord le présence de l’espèce est plus sporadique.Le félin a trouvé des conditions favorables, liées à la présence d’ongulés sauvages et de forêts suffisamment denses. Toutefois, le développement de la population est particulièrement lent et semble lié à l’effectif faible de lynx fondateurs réintroduits sur une trop longue durée. L’isolement géographique de la population Vosgienne, le braconnage,  limitent également l’extension de l’espèce.Alain Laurent. Réseau Lynx ONCFS Photographies : Vincent Munier (prises en captivité)

L'ODYSSEE SAUVAGE

 

Avec l'Odyssée Sauvage, Nicolas s'est lancé un challenge inédit pendant l'hiver 2013/2014 : traverser avec ses 10 chiens la Russie, la Chine et la Mongolie, soit près de 6000 km en moins de 3 mois ! Nicolas partage des souvenirs et des images à couper le souffle, dans son livre Avec mes chiens, le film l'Odyssée Sauvage et le DVD.

 

L'Odyssée Sauvage est le prochain tome d'une trilogie commencée il y a une dizaine d'années… Amoureux insatiable du Grand Nord, Nicolas n'a pu résister à l'envie d'écrire encore quelques pages… Avec l'Odyssée Sauvage, il se lance un challenge inédit : traverser avec ses 10 chiens les territoires les plus sauvages de la Russie, la Chine et la Mongolie, soit près de 6000 km en moins de 3 mois !

Pour rejoindre le lac Baïkal, Nicolas et ses chiens devront affronter mille difficultés et résoudre bien des problèmes : endurer une température moyenne de -50°C, supporter le terrible blizzard dans les étendues glacées, éviter les nombreux pièges de la glace, gérer la forme de ses chiens... Des conditions extrêmes dans une nature que Nicolas a su apprivoiser au fil des ans mais dont il sait que chaque erreur se paie comptant. Un parcours périlleux, mais ponctué de rencontres avec des trappeurs, des pêcheurs et d'autres dans des villages qui se mobilisent pour accueillir ce drôle de voyageur, dans un élan de solidarité propres aux « peuples d'en haut ». Un projet tout en démesure, promesse d'autant d'échanges passionnants avec les populations et de rencontres avec des animaux mythiques tels que le tigre de Mandchourie, le léopard des neiges en Sibérie, sans oublier les loups et les ours qui sillonnent ces régions.

 

6000 kilomètres du 21 décembre 2013 à mi-mars 2014
De la côte Pacifique de la Sibérie jusqu'aux rives gelées du Lac Baïkal
En passant par la Chine et la Mongolie
Une meute de 10 chiens
1 rêve...
 

Amoureux insatiable du Grand Nord, Nicolas n’a pu résister à l’envie d’écrire encore quelques pages… Avec son Odyssée Sauvage, il s’est lancé pendant l’hiver 2013/2014 un challenge inédit : parcourir avec ses 10 chiens les territoires les plus sauvages de la côté pacifique de la Sibérie,  jusqu’aux rives gelées du lac Baïkal,en passant par la Chine et la Mongolie, soit près de 6000 km en moins de 3 mois !

Une aventure intense pour Nicolas et ses chiens qui nous font partager des souvenirs et des images à couper le souffle

 

LE RENARD RETIRE DE LA LISTE DES NUISIBLE EN SAVOIE SA CHASSE INTERDITE

Le sujet a du mal à passer dans les rangs des porteurs de fusils : le renard sortira le 1er juillet de la liste des espèces nuisibles dans le département. L’association de chasse au féminin L’Chasse faisait de cette question le thème de l’assemblée générale de ses 10 ans, vendredi soir à Bourgneuf. « Il est nécessaire d’en parler car le renard n’est pas sans impact sur nos territoires », alerte Fernande Nantois, la présidente de L’Chasse.

La surprise de la “communauté chasse” vient surtout du cheminement administratif et technique qui aboutit à l’exclusion du “Vulpes vulpes” de la “liste 2” des espèces nuisibles en Savoie, devenu le seul département en France continentale, avec la Corse, à libérer le goupil.

 

Pas de preuves suffisantes de dégâts

 

À l’origine de cette mesure, réside en fait une réglementation qui remet régulièrement en question les espèces nuisibles. Trois listes coexistent : la première est annuelle, décidée par le ministère de l’Environnement et opposable sur la France entière. La deuxième est annuelle également, adoptée par le préfet donc calquée à la particularité du département.

La troisième, à laquelle appartient le renard, est adoptée par arrêté ministériel sur proposition du préfet, au motif de la protection de la faune et de la flore, de la prévention de dommages agricoles et forestiers, de dégâts à la propriété ajoutés d’un intérêt de santé et de sécurité publique.

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